Si le chômeur est malheureux, ce n'est pas parce qu'il n'a pas de travail, mais parce qu'il n'a pas d'argent. Ne disons donc plus demandeur d'emploi mais "demandeur d'argent" ; plus "recherche active d'emploi", mais : "recherche active d'argent". Chômeurs heureux de Berlin : Rapport d'inactivité n°1, 1996
06/12/2019
Permanence syndicale fermée les mercredi 25 décembre 2019 et 1er janvier 2020
Notre permanence syndicale sera fermée les mercredi 25 décembre 2019 et 1er janvier 2020.
02/10/2019
Nos conquêtes sociales ne sont pas négociables à la baisse
Il y a l’intox et les faits. Au nom d’un principe « universel », Macron
et son gouvernement proposent de changer totalement le principe de nos
retraites.
Au final, nous serons tous et toutes les perdant.es de cette réforme : le montant des pensions de toutes les professions va diminuer de plusieurs centaines d’euros !
lire le tract : Nos conquêtes sociales ne sont pas négociables à la baisse
Au final, nous serons tous et toutes les perdant.es de cette réforme : le montant des pensions de toutes les professions va diminuer de plusieurs centaines d’euros !
lire le tract : Nos conquêtes sociales ne sont pas négociables à la baisse
12/06/2019
Permanence syndicale fermée les mercredi 10, 24 et 31 juillet 2019
Notre permanence syndicale sera fermée les mercredi 10, 24 et 31 juillet 2019.
16/05/2019
Permanence syndicale fermée le mercredi 29 mai 2019
03/04/2019
Permanence syndicale fermée les mercredi 1er et 8 mai 2019
Notre permanence syndicale sera fermée les mercredi 1er et 8 mai 2019.
23/02/2019
Nous exigeons l'abrogation du décret contre les chômeurs
Ce vendredi 22 fevrier 2019, une centaine de personnes, chomeur.es, precaires, agent.es de pôle emploi, Mathilde Panot, députée, salarié.es en CDI et CDD, intermittent.es, intérimaires, occupons l’agence pôle emploi du 78 boulevard Ney, bâtiment qui comporte un des 4 centres de contrôle de la recherche d’emploi d’Ile de France. Nous exigeons l’abrogation : - du décret publié le 30 décembre qui intensifie les mesures de contrôle et aggrave les sanctions contre les chômeur.es jusqu’aux radiations et suppressions des allocations. - de la lettre de cadrage du gouvernement sur la renégociation de la convention de l’assurance chômage. Nous refusons : -toute économie sur le dos des chômeur.es dans le cadre des nouvelles négociations -la financiarisation de l’Unedic et la spéculation sur sa dette -la mise sous tutelle de l’Unedic par l’Etat -la suppression des cotisations salariales et patronales Nous demandons à être reçus par le directeur général de pôle emploi Jean Bassères. Nous demandons aussi que la ministre du travail Muriel Penicaud, honore sa promesse de rendez-vous faite durant l’occupation de l’Unedic, mercredi 20 février au matin. Pour l’heure, nous sommes toujours sans réponse. A Toulouse, Orléans, Lille et Nantes, des occupations et actions sont en cours. Nous sommes déterminé.es à poursuivre nos actions tant que l’on n’obtiendra pas satisfaction.
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